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Dimanche 10 mars 2019
La météo bien pluvieuse ne nous a pas donné beaucoup de
répit.
Ce dimanche matin, pour ne pas
changer, la pluie...
Ce weekend nous a fait perdre 10 cm du manteau neigeux,
on peut dire qu'il reste de 15 à 60 cm de neige.
Vendredi nous
étions revenus à un peu plus de 20 cm.
Le départ des pistes a viré en glace mais il y a de beaux
restes quelques centaines de mètres plus loin.
comme ici, à la Beurrière.
Malgré un ré-enneigement en début de semaine, les
lois de la physique sont implacables.
Mercredi dernier c'était encore joli !
Jeudi dernier, après un passage neigeux.
En milieu d'après-midi un beau rayon de
soleil nous redonne de belles couleurs.
La pluie
plus la fonte de la neige nous donnent pas mal
d'eau.
A part les crêts plein sud qui déneigent, il y a encore un
bon manteau neigeux.
Voilà les pentes en question.
La neige tient un peu mieux au passage des pistes, elle est
plus dense
et le vent en ajoute quand elles sont en creux.
On voit bien là aussi ce phénomène.
En voilà des beaux personnages de neige !
Celui-ci pourrait presque servir de modèle pour notre
"Marianne",
bravo l'artiste !
Jeudi en fin de journée le ciel se dégage, mais c'est pour
mieux se couvrir dans la nuit.
Ces quelques
nuages nous donnent un beau coucher de soleil.
Suite de mon histoire sur les traces de Chapelle des Bois.
Dans les premiers temps de son existence "Haut Doubs Ski de
Fond" puis "Espace Nordique Jurassien"
se sont donné comme objectif la formation du personnel des
pistes.
Comme le centre école était dans les précurseurs de la
gestion d'un site de ski de fond,
je me suis retrouvé a partager mon expérience de la conduite
et de l'entretien des dameuses.
Avant d'arriver à Chapelle j'étais allé une semaine en stage
chez le constructeur de notre
Kässebohrer PB60 à Ulm, et puis mon BTS de mécanique,
automatismes, me permettait
d'avoir toutes les compétences nécessaires.
Ce sont ces couples pompes et moteurs hydrauliques qui sont
utilisés pour l'entrainement des chenilles.
Ce système donne une grande précision au pilotage et
une solidité à toute épreuve,
il n'y a quasiment jamais de problèmes à ce niveau là.
L'enneigement étant incertain, à cette époque-là nous
programmions cette formation plutôt
début janvier, jusqu'en 1993.
En effet, "France Ski de Fond" a repris le flambeau et a
pris modèle sur le ski alpin pour instituer un brevet
d'état.
Le plus cocasse et que j'avais droit à l'équivalence,
bien sûr, mais cela s'est trouvé juste en même temps
que nous construisions "les Campanelles", donc je n'ai pas
eu le temps de faire les deux stages de secourisme
en temps voulu, et j'ai donc du tout refaire le cursus les
années suivantes !
Le dossier précédent, c'est ici : Photos
de la semaine 09b/19
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Cette page hebdomadaire est réalisée par Gaby Gresset, Les Campanelles -
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