Direction, les Marais Blancs.
Les Murgers
En direction de l'ouest, dans la pâture
des Antoines.
Le relief est très bosselé, et la pluie du weekend a
accentué le phénomène,
mais c'est joli à la vue et marrant à ski.
Quelqu'un est déjà passé par là...
Sortie du pré-bois, on arrive à la
Chaumoz.
Hameau composé de quatre
maisons.
Un groupe de skieurs sur la
piste de la Chaumoz, par ce beau temps !
Au fond, plein Nord, la grosse ferme de la Norbière.
Un couple écrit un message,
Plus simple qu'un mail...
Un petit chemin en direction des Prés Hauts
Voilà l'épaisseur de neige à ce jour (25/30 cm)
Virage à droite sur un chemin un peu plus large,
et l'on arrive en haut de ce beau secteur.
Vue bien contrastée du Risoux.
Descente de la piste de la Chaumoz.
Ce beau temps a
attiré beaucoup de monde sur ce secteur du réseau de pistes.
Je quitte la piste damée pour prendre l'itinéraire de
L'Envolée Nordique.
Vue du nord du hameau de la Chaumoz.
Le soleil a tourné et éclaire mieux la Norbière.
Tout au fond, la Toumire, qui était presque en ruine les
années 1980.
Je continue mon retour à la maison par derrière les
Landrys.
Toujours de beaux contrastes de lumière.
En navigation maritime on appelle ça "tirer les bords"
En fin d'après-midi, le froid descend sur les Marais Blancs.
Retour dans nos années 1984.
La préparation de l'Envolée Nordique de 1983 a été
spectaculaire.
Il a neigé beaucoup en fin de semaine et surtout dans la
nuit du samedi au dimanche.
Nous n'avions que la petite chenillette PB 60, qui se
promenait à 8 Km/h.
La piste faisait 42 km, heureusement sur une seule largeur.
Les deux derniers jours j'ai dû faire le tour deux fois par
jour,
Mais pour le dernier, de trois heures du matin à neuf
heures,
autour des lacs des Mortes, je ne voyais plus qu'un petit
bout des fanions qui dépassait de 10 cm de la neige,
pour me repérer, les phares n'étaient pas ceux de maintenant
!
Mais la course a été reportée au mois de mars, la route ne
faisait plus que trois mètres de large,
et les parkings ensevelis sous 40/50 cm de neige.
C'est cette année-là, ou la suivante que nous avons acheté
cette deuxième machine, PB 130, une évolution de la PB 60
Je n'ai que ces deux photos-là, mais celle-ci est magnifique
avec notre moniteur préféré !
Voici, à peu près, la machine Prinoth P4 que l'Accueil
Montagnard avait l'hiver 76/77 avant mon arrivée au village.
Elle avait à l'arrière un système de lame vibrante pour
lisser la neige.
Mais voilà, dans l'ovale rouge l'objet des problèmes.
Ce sont des freins à disques pour le pilotage, mais les
chenilles passent trop près et arrachent régulièrement les
étriers,
mettant la machine hors d'usage.
Voici un lien d'une vidéo de l'évolution de la gamme de la
marque Prinoth et de la marque Leitner,
dont nous avons eu trois machines dans les années 1995 à
2003.
Ces deux marques ont fusionné et racheté les dameuses
Canadienne "Bombardier"
Il n'y a plus que deux fabricants mondiaux...
PRINOTH -
TECHNOLOGY LEADER OVER 50 YEARS - YouTube
Magie d'internet, j'ai même retrouvé la chenillette
précédente, une canadienne "Play-Cat"
qui ne supportait pas les neiges mates à zéro degrés, et la
neige transformé.
Elle n'avait été conçue que pour les neiges très froides du
Québec.
Petite démonstration : Play
cat - YouTube
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Cette page hebdomadaire est réalisée par Gaby Gresset, Les Campanelles -
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