Une semaine bien hivernale, qui se
termine sous l’influence du "Paris Moscou" qui nous donne un
régime de bise bien vivifiante.
Dimanche matin, 20 à 30 km/h de bise
mais à moins huit degrés, ça pince.
Et nous voilà partis pour la piste aux plus beaux paysages
de notre site, à savoir la Chaumoz.
L'envers de notre décor habituel, les crêts sud sont
dégarnis à cause de la première bise et du foehn qui a
soufflé plusieurs jours.
Première d'une belle série de maisons traditionnelles,
parfaitement préservées.
Au lieu dit "les Murgers"
Les nuages débordent légèrement de Suisse mais
le courant d'air en est accéléré.
Le chazal de la Chaumelle.
Difficile d'imaginer qu'il y a moins d'un siècle, la maison
ci-dessous hébergeait tous ces gens.
Un peu plus loin nous avons cette belle vue
sur la Norbière.
Et là sur la Chaumoz de notre ami Henri.
Ici , encore deux belles maisons ancestrales.
La neige est un régal, ferme et douce à la fois,
avec une bonne glisse.
Un peu avant le bas des Prés Hauts (à ne surtout pas
confondre avec les Prés d'Hauts !)
Là où la Norbière rejoint la Chaumoz et les Mortes.
Un de mes points de vue préféré de nos pistes, la
Norbière.
Le fond de l'air était frais, mais il y avait
beaucoup de monde sur les pistes
Ici aussi ce petit vallon a du charme, c'est "Chez
Thiotime"
Arrivés à Beauregard, nous retrouvons nos crêts déneigés,
mais pas de soucis, les pistes empruntent les passages les
mieux enneigés.
Retour à la case départ...
Vendredi dernier avait lieu la "nocturne du slip"
Petits et grands font une petite boucle et se passent le
relais.
Léo au micro
Un dernier encouragement
Se retrouver à l'intérieur n'était pas du luxe, mais presque
une nécessité.
Quelques photos prises le long des pistes, ici sur Combe
Verte,
là sur Chalet Pin, elles nous indiquent bien l'épaisseur du
manteau neigeux.
Des fois, on parle d'un appartement au pieds des pistes,
mais là on pourrait dire sur les pistes.
Mardi 20 février, la foule au départ des pistes.
Vendredi matin, en fin de traçage de la piste "Les Prés
d'Haut"
Dimanche matin, au lever du jour, une hermine se dépêche de
rentrer, le bout de sa queue pourrait la trahir.
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Cette page hebdomadaire est réalisée par Gaby Gresset, Les Campanelles -
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