Les photos de la semaine 43/11 

Dimanche 30 octobre
Seule éclaircie de la journée, le ciel est resté bien gris, mais dans la douceur.



Ce matin, vers 9 heures, l'herbe prend sa couleur d'hiver.



Vendredi dernier nos amis suisses nous avaient proposé de visiter la scierie ultra-moderne de Mignovillard.



Les bois arrivent au fond à droite, ils sont écorcés dans le bâtiment, d'où sort ce convoyeur.



Une tâche capitale est réalisée par cet opérateur, le débit et le classement du bois,
qui est dès lors affecté à une destination bien précise




Cette énorme scie circulaire tronçonne les arbres en billes de longueur adéquate à leur destination.
(cliquez sur l'image pour visionner la vidéo)



En sortant de ce poste d'usinage les billes de bois sont aiguillées dans ces boxes
 par ces pinces rouges qui basculent à droite ou à gauche et au bon niveau.
Ces boxes sont vidés par un chargeur, pour constituer les grandes piles que l'on voit.



Cet atelier comporte deux lignes de sciage, ici pour les petits bois, destination planches et lambris.



Ensuite les planches brutes sont triées et délignées à ce poste.



Ici, c'est la ligne de sciage des gros bois, d'où sortent bastings, pannes et chevrons.
Le ruban fonctionne à l'aller et au retour...
(Vidéo en cliquant sur l'image)



Là, les pièces de bois sont triées, (vidéo)



La déligneuse en sortie de la scie à ruban, remarquez le nombre d'ouvriers...



En sortant de cette déligneuse, les pièces sont mises de longueur et transférées,



vers cet ensemble impressionnant de trieuses et conditonneuses



et aboutissent en piles bien rangées



tiens, pour être sanglées par un humanoïde...
Bien sûr toutes les machines sont "made in Deutschland", et l'électricité nucléaire...



Dommage, j'ai raté le manitou qui vient de charger ce camion, une vingtaine par jour, soit 700 m3
Nous avons croisé une quinzaine d'employés...



Dans le bâtiment à gauche, une chaudière qui alimente, entre autre des séchoirs à bois.



Et là, des sous-produits non négligeables, sciure ou plaquettes qui ont de plus en plus de débouchés.



Retour en 1985 à la scierie des mortes, 4 ou 5 ouvriers, de l'eau où de la vapeur, un camion de sciage par semaine.



Des chevaux,



de la sueur



Le "tringballe" (d'où l'expression "tringballer"), pas de nucléaire, très peu de pétrole;
 (juste pour descendre le sciage à Besançon ).



Le chassis, et une circulaire pour le sciage.



La machine à vapeur, pour pallier au manque d'eau en automne.
Cette scierie n'a laissé aucun déchets non bio-dégradable , alors que l'autre...

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